Les paradoxes de la démocratie sanitaire

Si quelque chose a bien changé dans un système de santé réputé conservateur, c’est bien le rôle et la place des patients. Traditionnellement, tout le monde s’accordait pour le considérer comme une personne sous tutelle. Tutelle médicale au nom de « l’asymétrie d’information » entre lui et son médecin, tutelle économique et politique au nom de la prise en charge de ses dépenses par la collectivité. Cette configuration n’existe plus et le patient s’est autonomisé à la fois individuellement et collectivement.

Individuellement, il a été promu « acteur de sa propre santé », au moins juridiquement, et la relation tutélaire avec les professionnels de santé s’est muée en une relation plus partenariale.

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