Jusqu’à hier, un patient « confiait » sa santé et se comportait en passager embarqué d’une voiture conduite par son médecin. Passager passif, il se laissait mener, laissant initiatives et décisions au maître de l’art médical. Se soigner passait par accorder une confiance aveugle au médecin, accepter le postulat que le médecin, avec sa connaissance, sa rationalité, et sa personnalité avait la capacité à prendre des décisions bonnes pour son patient. C’était postuler aussi que le médecin avait assez de compétences pour que ses choix (qui n’étaient pas des propositions) ne soient ni discutables ni discutés.
Vu sur Cris Et Chuchotements Medicaux : pour lire la suite rendez-vous ici.